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L’influence de l’affaire Sperisen : TRIAL International et ses liens controversés

Isabel Ortiz Caballeros
14 de febrero, 2024

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a estimé qu'Erwin Sperisen, ancien chef de la Police Civile Nationale Guatémaltèque, avait été victime de violations des droits de l'homme et des droits de la défense.  

La CICIG, ainsi qu'une terrifiante coalition d'ONG, de juges, de procureurs, de bureaucrates, d'opérateurs politiques et d'activistes, ont uni leurs forces pour maintenir Sperisen en prison et le soumettre à la torture, en violation de la présomption d'innocence et avec un désir de vengeance plutôt que de justice. 

Dans le cadre d'une poursuite commanditée - et idéologiquement motivée - une série de "fraudes" judiciaires ont été commises, y compris la fabrication de témoignages et de témoins, le blocage systématique de la défense, la manipulation de preuves, et même l'absurdité de déclarer Sperisen complice d'une personne innocente. 
 
Au centre de cette discussion se trouve TRIAL International, une Organisation Non Gouvernementale ouvertement orientée à gauche et basée à Genève. L'Union Européenne, le Rockefeller Brothers Fund (RBF) et le Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme sont les principaux bailleurs de fonds de cette organisation. Arturo Aguilar, ancien directeur des enquêtes de la CICIG, est actuellement responsable du programme Amérique Centrale de la FRB. Le fait qu'il soit passé d'un rôle de premier plan au CICIG à un rôle important au sein de l'ONG soulève certainement des soupçons quant à la manière dont ces liens pourraient affecter le procès de Sperisen. 

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Le CICIG et TRIAL International ont tous deux joué un rôle majeur dans les poursuites engagées contre Sperisen.  Dans le cas de Sperisen, TRIAL International et le CICIG ont participé activement à l'enquête et à la rédaction des accusations portées contre lui.   Les "enquêtes" du CICIG ont été biaisées; elles ont transmis des déclarations sans analyse, y compris plusieurs témoignages contradictoires.  De leur côté, les juges n'ont pas permis aux témoins de la défense d'être entendus. 

L'affaire Sperisen a été menée par l'Organisation TRIAL International, fondée par Bernard Bertossa. La défense de Sperisen a mis en évidence des conflits d'intérêts évidents, Bernard Bertossa étant le père d'Yves Bertossa, le procureur chargé de l'accusation. La procédure a été entachée de graves violations de la loi, notamment l'enregistrement de déclarations de témoins sans la participation de M. Sperisen ou de ses avocats, ce qui témoigne d'un manque de respect des droits de la défense. 

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a reconnu que Spersien a été victime d'irrégularités judiciaires telles que la manipulation de preuves, la fabrication de témoignages et la limitation de son droit à une défense adéquate. En outre, il a subi des violations de ses Droits de l'Homme.  Le quatrième procès de Sperisen est prévu du 2 au 13 septembre à Genève. Il intervient après que le Tribunal Fédéral Suisse a annulé sa condamnation à 15 ans de prison au motif qu'il n'avait pas bénéficié d'un procès équitable.   

Le financement par l'Union Européenne et le Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme, entre autres, d'une ONG qui, selon la Cour Européenne des Droits de l'Homme  elle-même, collabore avec une personne dont les Droits de l'Homme sont violés et dirige les poursuites à son encontre, est pathétique. Ce n'est pas une coïncidence si d'anciens hauts fonctionnaires de la CICIG occupent aujourd'hui des postes de direction dans des entités "philanthropiques" qui financent des persécutions motivées par l'idéologie, telles que celles que subit encore Sperisen. 

 

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Isabel Ortiz Caballeros
14 de febrero, 2024

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a estimé qu'Erwin Sperisen, ancien chef de la Police Civile Nationale Guatémaltèque, avait été victime de violations des droits de l'homme et des droits de la défense.  

La CICIG, ainsi qu'une terrifiante coalition d'ONG, de juges, de procureurs, de bureaucrates, d'opérateurs politiques et d'activistes, ont uni leurs forces pour maintenir Sperisen en prison et le soumettre à la torture, en violation de la présomption d'innocence et avec un désir de vengeance plutôt que de justice. 

Dans le cadre d'une poursuite commanditée - et idéologiquement motivée - une série de "fraudes" judiciaires ont été commises, y compris la fabrication de témoignages et de témoins, le blocage systématique de la défense, la manipulation de preuves, et même l'absurdité de déclarer Sperisen complice d'une personne innocente. 
 
Au centre de cette discussion se trouve TRIAL International, une Organisation Non Gouvernementale ouvertement orientée à gauche et basée à Genève. L'Union Européenne, le Rockefeller Brothers Fund (RBF) et le Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme sont les principaux bailleurs de fonds de cette organisation. Arturo Aguilar, ancien directeur des enquêtes de la CICIG, est actuellement responsable du programme Amérique Centrale de la FRB. Le fait qu'il soit passé d'un rôle de premier plan au CICIG à un rôle important au sein de l'ONG soulève certainement des soupçons quant à la manière dont ces liens pourraient affecter le procès de Sperisen. 

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Le CICIG et TRIAL International ont tous deux joué un rôle majeur dans les poursuites engagées contre Sperisen.  Dans le cas de Sperisen, TRIAL International et le CICIG ont participé activement à l'enquête et à la rédaction des accusations portées contre lui.   Les "enquêtes" du CICIG ont été biaisées; elles ont transmis des déclarations sans analyse, y compris plusieurs témoignages contradictoires.  De leur côté, les juges n'ont pas permis aux témoins de la défense d'être entendus. 

L'affaire Sperisen a été menée par l'Organisation TRIAL International, fondée par Bernard Bertossa. La défense de Sperisen a mis en évidence des conflits d'intérêts évidents, Bernard Bertossa étant le père d'Yves Bertossa, le procureur chargé de l'accusation. La procédure a été entachée de graves violations de la loi, notamment l'enregistrement de déclarations de témoins sans la participation de M. Sperisen ou de ses avocats, ce qui témoigne d'un manque de respect des droits de la défense. 

La Cour Européenne des Droits de l'Homme a reconnu que Spersien a été victime d'irrégularités judiciaires telles que la manipulation de preuves, la fabrication de témoignages et la limitation de son droit à une défense adéquate. En outre, il a subi des violations de ses Droits de l'Homme.  Le quatrième procès de Sperisen est prévu du 2 au 13 septembre à Genève. Il intervient après que le Tribunal Fédéral Suisse a annulé sa condamnation à 15 ans de prison au motif qu'il n'avait pas bénéficié d'un procès équitable.   

Le financement par l'Union Européenne et le Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme, entre autres, d'une ONG qui, selon la Cour Européenne des Droits de l'Homme  elle-même, collabore avec une personne dont les Droits de l'Homme sont violés et dirige les poursuites à son encontre, est pathétique. Ce n'est pas une coïncidence si d'anciens hauts fonctionnaires de la CICIG occupent aujourd'hui des postes de direction dans des entités "philanthropiques" qui financent des persécutions motivées par l'idéologie, telles que celles que subit encore Sperisen. 

 

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